Te voilà "confondu" , moust-piper
Pour en revenir à mon intervention :
Les conseillers funéraires sont des "commerciaux" pour l'essentiel de leurs missions. Ce n'est pas un gros mot.
MAIS ce ne sont pas des vendeurs.
Le groupe qui m'emploie aujourd'hui ne remunère pas, en effet, en fonction du CA réalisé.
Mais si c'est ça qui est cherché, pourquoi aller dans ce monde là et ne pas être conseiller bancaire, immobilier, automobile ...etc ...
Ce n'est pas le même métier.
Etre vendeur / commercial : c'est un emploi.
Etre conseiller funéraire : C'est un METIER.
Que les huiles du sièges s'offrent des salaires 6 ou 7 fois supérieurs au mien sans même jamais affronter le deuil d'une seule famille, c'est un fait logistique et économique. En échange, on a le "pouvoir" d'ajuster leurs propositions ou directives.
Le "terrain", la "production" n'est pas considérée en France et la structure hierarchique pyramidale, une sorte d'étrange tradition.
Pourquoi s'en offenser dans notre secteur alors que c'est devenu en moins de 40 ans une gestion commune et quotidienne de toutes les entreprises.
Le funéraire sacré ?
Entre le moment où j'ai pensé rentrer dans la profession et le moment où j'ai été recrutée, il s'est passé environ 5 mois.
5 mois pendant lesquels j'ai recherché, rencontré ...
3 mois inclus de recrutements, d'échanges ...que ce soit chez des indépendants, des franchisés, des employés ou des cadres de groupe.
Le groupe OGF applique, finacièrement, la convention collective.
Il est certain qu'en Province il est plus facile de vivre avec ses salaires qu'à Paris ou RP ou autres grandes agglomérations.
Il est certain aussi que la propulsion en parts variables et en promotions internes est plus forte sur le secteur Paris / IDF.
Il est certain aussi que les bureaux dans ce même secteur sont partagés par plusieurs collègues . Ce qui signifie : moins de "solitude" mais aussi plus de souplesse dans l'emploi du temps...
Et comme disait Barbara : "Faut savoir c'que vouloir "